Les vampires… Le genre littéraire initié par Lord Byron (1816) donna
naissance à Dracula (1897) de Bram Stoker, aux Chroniques des vampires d’Anne
Rice, plus récemment à Twilight de Stéphanie Meyer.
Les vampires ne cessent de fasciner un public sous le charme de ces étranges créatures dont on envie l’immortalité, le raffinement, la jouissance, la sensualité… et tant pis si on est tout pâle et que l’on boit du sang.
Les vampires ne cessent de fasciner un public sous le charme de ces étranges créatures dont on envie l’immortalité, le raffinement, la jouissance, la sensualité… et tant pis si on est tout pâle et que l’on boit du sang.
DES RAISONS SANS DOUTE
D’EXPLIQUER QUE LE MUSICALE « LE BAL DES VAMPIRES » TRIOMPHE DANS LE
MONDE DEPUIS 17 ANS ! A l’origine de ce succès, Roman Polanski, qui
réalisa en 1967 une parodie de film de vampires, devenu film culte en quelques
semaines. 30 ans plus tard, Vereinigte Bühnen Wien adapte le film en comédie
musicale et Polanski him-self se charge de la mise en scène, Michael Kunze du
livret et Jim Steinman de la musique. Depuis, ce sont 7,3 millions de
spectateurs qui ont applaudi Le bal des vampires sur scène lors de plus de 6730
représentations dans le monde. Stage Entertainment France, (Cabaret, Le Roi
Lion, Zorro, Mamma Mia !, Sister Act, La Belle et la Bête), présente le musical
Le Bal des Vampires pour première fois en France et en français.
PENDANT PRÈS DE 2H30,
les spectateurs accompagnent les péripéties du Professeur Abronsius, un
excentrique scientifique de l’université de Königsberg n’a qu’une obsession :
prouver au monde l’existence des vampires. Accompagné par son fidèle assistant,
le jeune Alfred, et avec pour seule arme son indéfectible foi en la logique et
la science, il se lance dans cette quête un peu folle à travers les contrées
sauvages de Transylvanie.
Une tempête de neige
va pousser nos deux héros à faire escale dans l’auberge de Yoine et Rebecca
Chagal. Là des indices tels que des guirlandes de gousses d’ail placées en
abondance un peu partout dans la maison vont faire comprendre au professeur
qu’il est sur la bonne voie. Alfred quant à lui va tomber immédiatement sous le
charme de la jeune Sarah, la fille des Chagal.
Le comte Von Krolock,
vampire sombre et charismatique habitant le château des environs tente lui
aussi de séduire discrètement la jeune fille et de l’inviter au bal annuel
qu’il donne pour ses congénères.
Attirée par le charme
magnétique du comte et l’envie de braver l’interdit imposé par son père et les
traditions, la jeune adolescente se sauve pour rejoindre le château.
Alfred et le
professeur Abronsius vont alors partir à sa recherche et découvrir que les
vampires existent bel et bien et qu’ils évoluent dans un univers dont ils
n’auraient jamais soupçonné l’existence.
Ils seront bien malgré
eux les invités surprise du bal des vampires.
Exubérant, décalé, à
l’humour renversant… ce Bal des Vampires mérite tous les superlatifs. Entre les
ballades romantiques, le rock tumultueux, les apparitions vampiriques dans la
salle, ce spectacle est 100% parfait. Décors éblouissants, lumières
atmosphériques, costumes somptueux, chanteurs puissants, mise en scène
édifiante, acteurs, … tout y est. Un pur bonheur gothique acclamé par un public
en liesse. On en redemande.
Judith Lossmann ©photos : Brinkhoff/Mögenburg
Théâtre Mogador, 25,
rue Mogador 75009 Paris - De 25 à 105 euros - Réservation au : 01 53 33 45 30,
aux caisses du Théâtre Mogador et sur le site. Plus d’infos :
baldesvampires.fr
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